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Histoire de LG

Conscience


Conscience
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Lun 20 Juin - 15:10
Histoire de LG
PROLOGUE

C’est dans un monde bien étrange que notre aventure commence. Un monde rempli de créatures étranges qu’on ne nomme que dans les histoires pour endormir les enfants.
Mais cette nuit là, une enfant ne s’endormit pas. Sa mère l’avait pourtant prévenue que l’orage était seulement bruyant mais pas dangereux. Elle était terrorisée. Incapable de s’endormir, elle appela à l’aide. Il y eut d’abord un grand silence puis un trait lumineux traversa le ciel, la lumière fut si intense qu’elle illumina la chambre de la petite comme en plein jour. Elle en fut émerveillée. Elle attendit que le bruit du tonnerre passe avant de se lever doucement, enfiler ses chaussons et ouvrir la fenêtre.
La pluie lui fouetta le visage, elle ouvrit grand la bouche, essayant de gober quelques gouttes n’y parvenant pas –comme 99% des personnes ayant essayé-
Elle se pencha à sa fenêtre et leva les yeux pour observer le ciel quand soudain, un éclair zébra le ciel à une vitesse fulgurante, frappant la petite fille au crâne. Un éclair venait littéralement de lui traverser l'esprit.
Elle poussa un cri et s’effondra sur son parquet. C’est à ce moment là que sa mère arriva et se précipita vers la fenêtre pour la fermer :
 
    « Ma chérie ? Tout va bien ? »

La petite ne répondit pas. Elle ne saignait pas. Elle n’avait pas mal, pourtant, dans sa tête, sa vision du monde avait changé. Elle se dirigea vers la porte d’entrée et tenta de l’ouvrir, mais sa mère lui attrapa le poignet :
 
    « Enfin Reira, mais qu’est ce que tu fais ? »

Elle se tourna vers sa mère, un grand sourire angélique aux lèvres :
 
    « Je dois trouver un lapin avec un gilet, je suis en retard ! »


La mère sourit doucement :
 
    « Ça c’est dans Alice aux pays des Merveilles ma chérie. »


Reira fronça les sourcils :
 
    « Bon ben je vais trouver la Reine Arc en ciel alors ! »


Sa mère en fut estomaquée :
 
    « Elle … Qui ? Mais chérie … La Reine Arc en ciel n’existe pas ! Même en Disney ! »


N’ayant plus envie de perdre son temps en parlotte, Reira décida de partir. Mais sa mère esquissa un geste pour l’en empêcher. Du haut de ses dix ans, elle maîtrisait déjà la quasi-totalité des pouvoirs ancestraux que lui avaient confiés les deux dieux Henry Tabernacle du Mont Langouste -que ses fidèles préféraient appeler HTML pour une raison de crédibilité- et Charles le Saladier Saxophoniste appelé CSS pour les mêmes raisons. Alors, à l’aide d’une div et de quelques span, elle dressa un bloc de 300px de largeur et 500px de hauteur pour empêcher sa mère de l’atteindre.

Une fois le portail franchi, elle se hâta de rejoindre la rue. La Reine l’attendait, elle était en retard.


CHAPITRE 1 - REIRA & LA REINE ARC-EN-CIEL

Pour les besoins de l’histoire, Reira trouva immédiatement le château de la Reine au détour de la rue Achille dans le 20ième arrondissement. Celui-ci était incroyablement grand. Il était fait de dalles très rares appelées les Photoshop. D’une résistance et d’une qualité niveau 4, elles ne pouvaient venir que de photoshopie. Reira en fut émerveillée et demanda à voir la reine. On lui conseilla d’attendre dans la bibliothèque car sa majesté adorait s’y rendre sans raison au cas où on demanderait à la voir et que les gardes de son château conseillerait la personne à aller voir dans la bibliothèque si jamais elle s’y trouvait.

Reira finit enfin par la trouver. Elle était vêtue d’une jolie robe rouge et de petites chaussures à hauts talons. La fillette s’inclina et ouvrit la bouche mais la Reine lui coupa la parole :
 
    « Chut. Tais-toi humaine. La reine Sunhae sait tout. »


Reira fronça les sourcils :
 
    « Physiquement impossible »


Sunhae se laissa tomber sur son trône :
 
    « On s’en fiche de la physique quantique. Je sais tout ce qui faut savoir pour économiser quelques lignes à notre auteure pour qu’elle n’ait pas à expliquer qu’on doit créer le plus grand royaume de tous les temps »


Reira sourit :
 
    « Ben c’est pratique ça ! »


Sunhae hocha la tête :
 
    « Comme tu dis. Ne bouge pas je vais me préparer. Nous devons trouver le fantôme de l’été avant la nuit. Elle déteste le froid. »


Reira la stoppa :
 
    « Attendez deux secondes, c’est qui le fantôme de l’été ? »


Sunhae soupira, elle devait se changer, aussi parce que on l’avait obligé à porter des escarpins conçus uniquement pour être inconfortables. Mais apparemment, une explication n'était pas de trop :
 
    « Le fantôme de l’été est une très vieille entité, elle ne survint qu’en hiver, c’est en elle que sont emprisonnés la chaleur de l’été et les petits oiseaux. Ce n’est pas sa faute et elle ne demande qu’à être libérée du mauvais sort qui l’oblige à nous faire nous peler le cul par -15° alors que c’est bientôt Noël. C’est d’ailleurs pour ça qu’on l’appelle Free. Mais je vais pas te faire une encyclopédie sur chaque personne que nous devons recruter alors laisse moi aller me changer et attend moi à l’extérieur. »



CHAPITRE 2 - REIRA, SUNHAE & LE FANTÔME DE L’ÉTÉ

Free était loin d’être une méchante machiavélique mais son statut de fantôme l’obligeait à vivre dans un cimetière rempli de crânes pas très bien enterrés, de chauves-souris cannibales qui n’avaient pas mangé depuis dix huit ans et de corbeaux de la taille d’une 205. Dès qu’elles entrèrent, les portes se refermèrent derrière elles, Sunhae marcha sur une branche qui craqua, faisant fuir des corbeaux qui croassaient dans la nuit, classique quoi. L’endroit était plutôt calme, elles ne s’attendaient pas à trouver un groupe de jazz mais elles s’attendaient à un minimum d’animation. C’est alors qu’elles aperçurent Free.

Le fantôme lévitait, assit en tailleur et en équilibre précaire sur la lame de sa faux dont le manche lui servait d’appui pour son dos. Elle tenait une lanterne et elle la tendit vers les deux jeunes filles pour les apercevoir. Reira s’approcha :
 
    « Vous êtes le fantôme de l’été ? »


Le dit fantôme la regarda :
 
    « Non ma petite, je suis la vierge. »


Reira poussa un soupir, dépitée :
 
    « Et vous connaîtrez pas le fantôme de l’été madame ? »


Free failli tomber de sa faux tellement elle riait, Sunhae réprimanda un sourire et attendit que le spectre ait reprit son souffle et déclare :
 
    « Ma petite je suis le fantôme de l’été ! Et je peux être très méchante avec ceux qui me manquent de respect. Si je veux je garde l’été pendant tout le mois de juillet moi ! Les vacances au Cap d’Agde, hop ! Fichues ! »


Sunhae, impatiente, fini par s’avancer :
 
    « Bon les filles vous êtes bien mignonnes mais on a un royaume à créer et j’ai pas très envie de m’éterniser ici. »


Reira poussa un soupir et hocha la tête, se tournant vers Free :
 
    « Tu nous suis ? »


Le fantôme descendit de sa faux et à l’instant où ses pieds touchèrent le sol, ils furent auréolés par une couronne d’orchidées blanches aux pétales givrées. Sunhae haussa un sourcil :
 
    « T’es magicienne toi maintenant ? »


Free grogna :
 
    « Nan et ça m’énerve, parce qu’en plein air ou dans mon jardin c’est bien ça me permet de faire de jolis dessins mais il y a des fois où c’est handicapant. Comme dans mon lit ou ma baignoire. »


Reira haussa les épaules et créa une infobulle qui permit aux deux portes du cimetière de s’écarter au passage de la souris.


CHAPITRE 3 - REIRA, SUNHAE, FREE & LE HAREM D'AZA

Alors que les trois jeunes filles créaient leur royaume qu’elles avaient nommés Libre Graph, elles se sentirent bientôt dépassées par la charge de travail. Elles décidèrent de chercher une acolyte. Sunhae –qui ne l’oublions pas, savait tout- leur conseilla d’aller chercher la patronne du château d’Aza. D’après elle, c’est là bas qu’on trouvait les plus beaux jeunes hommes du continent.

Ce qu’elles n’avaient pas prévu, c’est qu’au château d’Aza, les garçons étaient relativement intéressés par les femmes. Le château était rempli d’éphèbes tous plus beaux les uns que les autres, et tous plus gays les uns que les autres. Reira grogna :
 
    « Qu’est ce que fout la patronne dans un endroit pareil ? C’est frustrant. »


Une voix s’éleva derrière elles :
 
    « Détrompes toi petite ! Ce château est le plus bel endroit au monde ! »


Elles se détournèrent, la voix provenait de derrière un rideau. Free qui avait laissé une trainée de fleurs derrière elle à la manière du petit poucet, s’avança pour l’écarter.

Elles tombèrent sur un jacuzzi rempli de quatorze hommes totalement nus en train de s’embrasser.

Au-delà, il y avait un trône de velours rouges où Azayelle, reine des lieux, était nonchalamment assise. Elle caressait les cheveux d’un bel homme d’une main. Elle sourit doucement :
 
    « Bienvenue dans mon harem. Que puis je pour vous ? »


Sunhae prit la parole :
 
    « Notre royaume avance bien, mais nous venons quérir ton aide, il nous manque une personne. »


Azayelle accepta leur demande bien qu’abandonner ses sujets ne lui plaisait pas. Mais elle savait que c’était son destin. C’était Charles le Saladier Saxophoniste qui l’avait prévenue.

De plus, elle savait qu’elle allait être d’une grande aide. Elle était maîtresse dans l’air d’animer un château et de trouver des moyens de rendre la vie plus gaie.


CHAPITRE 4 - REIRA, SUNHAE, FREE & AZA & LES 2 PRINCESSES

Le royaume était prospère, on y cultivait le kit et le header et on y trouvait les meilleurs restaurants du monde selon le guide du routard. Mais derrière ses apparences, tout était orchestré par les quatre reines de ce monde qui commençait à en avoir marre de faire la morale et de dicter les lois.

C’est pourquoi elles décidèrent de désigner deux princesses, qui n’auraient pas les droits de création de royaumes mais qui aiderait à modérer le peuple.

Cali fut nommée en premier. Certains disent qu’elle serait capable de cracher du feu, d’autre disent que c’est seulement quand elle a mangé trop épicé. Mais une chose est sûre, il ne faut pas se fier aux apparences. En effet, Cali était plutôt petite mais était maîtresse de la place publique et pratiquait régulièrement le high kick sur partie génitale masculine quand il y avait des problèmes à régler.

Le quota d’eunuques montant en flèche, Free eut l’idée de nommer une personne plus douce aux côtés de Cali pour essayer de la calmer un peu. Berry la douce fut choisie. Sa douceur était connue de tous les habitants du royaume qui ne tardèrent pas à l’adorer.


CHAPITRE 5 - LE MAGICIEN MALSAIN

Un jour, le trois octobre pour être plus précis, un homme encapuchonné poussa les portes du royaume et se présenta aux reines comme étant le mécène du Sein esprit. Il se nommait Drakce le poulpe mais les reines le nommèrent Sonate ce qui fait quand même plus classe que d’être assimilé à une masse de gélatine possédant huit bras.

Son talent de construction impressionna tout le monde, il maniait les dalles CC, une autre forme de dalles très connues de photoshopie. Les Reines acceptèrent de le laisser construire son chez soi à l’intérieur du royaume. C’est ainsi que naquit le palais des Belles Obsessions Obnubilées par les Seins. Appelé le palais des BOOBS. Ça fait plus court.

Sonate était très connu pour son franc parler et pour les cris qui s’élevait chaque nuit par les fenêtres ouvertes de son palais. Pas besoin de vous faire un dessin, il trempait sa nouillette dans le bol de soupe.


CHAPITRE 6 - UN CHAPELIER QUI NE PLAISANTE PAS

Bien qu’écouter les histoires de Sonate, recevoir les câlins de Berry, hurler sous les coups de Cali ou admirer le travail des reines soit divertissant, le royaume manquait de rire et de chanson. Un jour, un chapelier entra dans le palais. C’était une femme, elle secouait son chapeau à grelot en se lamentant, pour elle, un royaume sans sourire n’était pas un royaume.

Elle se mit en tête de divertir les sujets du royaume et son travail fut remarqué alors que les reines prenaient le thé en compagnie de leurs princesses :
 
    « Quel est donc cette clameur que j’entends là ? » s’exclama Sunhae.

 
    « La sonnerie de mon portable, j’ai oublié de le mettre en silencieux » prévint Free.


Reira soupira et tendit l’oreille :
 
    « On dirait comme quelqu’un qui pleure parce qu’il est heureux … »


Azayelle les regarda, atterrée :
 
    « Ça s’appelle rire mes amies. »


Cali soupira> :
 
    « Je peux leur faire passer l’envie de rire si vous voulez. »


Le chapelier fut convié au palais pour prendre le thé avec les reines et les princesses et du se présenter. Elle se nommait Misaki. Elle était atteinte d’une pneumonie. Elle devait renouveler l’air dans ses poumons toutes les cinq minutes. Et les médecins lui avaient conseillé de rire plus d’une heure par jour. Elle avait donc décidé d’en faire son métier.

Elle fit rire les Reines et Berry, même Cali esquissa un sourire, ce qui était très rare. Il fut donc décidé qu’elle exercerait officiellement son art dans le royaume et qu’elle aurait un titre pour ça.


CHAPITRE 7 - EXCEPTION, L'EXCEPTION

Le royaume n’avait jamais été aussi envié. On y venait des quatre coins du monde pour visiter ou pour s’installer. Mais jamais personne n’aurait pensé qu’Exception lui-même libèrerait un créneau pour venir faire un tour.

Exception était un gamin prodige, fils héritier d’un royaume voisin. Certains pensaient que voir un enfant débarquer à la cours n’était pas une bonne chose et d’autre soutenait que cela faisait un peu sang neuf et que de toute façon, le talent d’Exception serait utile. En effet, lui aussi possédait les pouvoirs ancestraux de Charles et d’Henry et savait les manier comme personne. Il s’intégra très vite à la cour et finit par devenir indispensable.


CHAPITRE 8 - LG A UN INCROYABLE TALENT

Bien sûr, une poignée de personnes pour gérer un royaume aussi grand ce n’était pas suffisant. De nouveaux talents virent le jour. Charles et Henry avaient choisis d’apprendre la maîtrise de leurs pouvoirs à ceux qu’on appela bientôt les « élus ». Ils n’étaient pas nombreux et se nommaient

Quand les reines décidèrent de fonder une école pour que le royaume ne cultive plus que le kit de photoshopie mais aussi le peuple, xxx se proposèrent en tant que professeur. Bientôt, le peuple de Libre graph devint intelligent. Ce qui était une grande avancée, à l’époque.


CHAPITRE 9 - ON ETAIT SI BIEN

Tout allait pour le mieux, le royaume grandissait de jour en jour, des nouveaux arrivaient, on construisait de nouvelles demeures, on amusait de nouvelles personnes, on touchait de nouveaux seins … Tout cela ne pouvait pas durer. Un jour, quelqu’un demanda à entrer dans le royaume. Elle s’appelait Chess et elle revendiquait d’être scribe. Elle n’avait jamais touché à ce qui venait de photoshopie et ne possédait pas les pouvoirs de Charles et Henry. Néanmoins, elle écrivait beaucoup et en avait fait son métier. Elle devint d’abord professeur de lettre puis décida d’étendre son art et d’écrire les grandes lois et événements de ce monde. Oh elle n’était pas prétentieuse, elle souhaitait juste apporter son aide. Et c’est aujourd’hui sur elle, que cette histoire se termine.

© Chess.
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